Qui suis-je





mercredi 24 décembre 2008

mercredi 17 décembre 2008

Un exemple de courage

Tout amateur de sport
Tout maniaque de golf à la mèche trop courte
Toute personne qui s'attaque à ce qu'elle perçoit comme un gros défi
Toute personne qui croit que la vie est contre elle
Toute personne qui a besoin d'un petit coup de pied quelque part
Devrait prendre 10 minutes pour regarder ce vidéo

mercredi 10 décembre 2008

Vous êtes infecté ou vous "affectez" ?


Hier un article paru dans Les Affaires parlait du bonheur comme étant contagieux. Toutefois, la contagion est moins forte au bureau qu'ailleurs. ..

Êtes-vous de ceux qui se laissent infecter par le climat du bureau ou vous êtes du genre à "affecter" vos collègues avec votre bonne humeur ?

À vous de choisir !
Choqué ? frustré? Sur le point de "décrocher" ?
Essayez un des 2 trucs suivants:

Si vous êtes du genre ludique:
1- Isolez vous quelques minutes et répétez à voix normale, "Je me sens bien" une dizaine de fois, de dix façons différentes, ridicules au possible et préférablement en faisant les grimaces appropriées. Pour l'utiliser souvent (surtout quand les enfants font monter ma pression), je vous jure que ça marche :-)
Citation
Si vous êtes du genre Intello: Essayez la méthode Sedona pour lâcher prise.
a) Identifiez le "feeling" qui vous habite, puis posez-vous les questions suivantes
b) Suis-je capable de laisser aller ce feeling ?
c) Est-ce que je préfère me sentir comme "ça" plutôt que de laisser tomber ?
d) Si oui, quand ?

Répétez à quelques reprises jusqu'à ce que vous puissiez répondre "maintenant" à la dernière question, le plus simplement possible.
p.s. Je suis conscient de la liberté poétique de mon écriture ce matin...Mais, après tout, "affecter" et affectueux, c'est la même racine, non ? ;-)

mercredi 5 novembre 2008

L'intégral du speech de Barack Obama

Aujourd'hui, je cède toute la place en celui qui incarne le nouvel espoir. Ce nouvel espoir qui peut changer la planète. Il ne peut faire que ce qu'il peut. Mais l'espoir qu'il suscite à travers le monde pourrait faire évoluer les choses bien plus que l'on imagine

Voici le lien vers l'intégral de son speech, vidéo et texte, sur le site du NY times

lundi 3 novembre 2008

Un environnement qui vous ressemble!


À tous ceux qui se demandent ce qu'ils font encore à travailler pour une entreprise qui ne leur convient pas; ne ratez surtout pas cette conférence de Diane Fellice.

Diane est intéressante, une coach dans l'âme et a toujours une façon de présenter les obstacles d'une façon à ce qu'ils nous semble plus faciles à franchir.

Faîtes-vous plaisir, et en plus, c'est gratuit.

mercredi 29 octobre 2008

Pour un Québec.... numérique

J'aime toujours quand les gens arrêtent de parler pour agir. Depuis un bon moment la communauté "numérique" Montréalaise déplorait le piètre résultats du Québec sur le web. Le faible taux de pénétration dans les PME, la faible utilisation, la peur de l'achat...La goutte qui a fait déborder le vase est cet espèce de paranoia collective que le gouvernement semble vouloir encourager face à la sécurité du Web commercial.

Face à cet état des choses, Patricia Tessier a pris la décision d'écrire un lettre au Premier Ministre Jean Charest. Je vous invite à la lire et à l'appuyer dasn sa démarche.

Monsieur le Premier Ministre,

Tout récemment, l’indice du commerce électronique au Québec et Recherche Internet Canada (RIC) publiaient respectivement un rapport sur l’état de l’utilisation d’Internet au Québec et au Canada. Suite à la publication de ces rapports, force est de constater que le Québec est nettement en retard par rapport au reste du Canada. Par exemple, avec 64% d’internautes à l’été 2007, le Québec était 19 points derrière l’Alberta qui revendiquait la première place avec un taux de pénétration de 83%. Le rapport nous démontre aussi que l’on retrouve un écart de 15% dans les niveaux d’adoption entre les Canadiens anglophones et francophones (82% contre 67%).

Par ailleurs, l’Indice du comerce électronique au Québec rapporte qu’il y a eu pour 3,5 milliards de dollars d’achats en ligne sur un an au Québec (septembre 2007 - août 2008). Toutefois, au moins le tiers de ces achats s’effectue à l’étranger.

• 87 millions de dollars avaient abouti dans les coffres de détaillants ou departiculiers non canadiens en mars dernier (36 % des achats totaux),

• 146 millions de dollars en mai (58 %),

• 103 millions de dollars en juillet (33 %).

Une des raisons principales est qu’il y a peu d’offres québécoises. Uniquement 52% des PME disent avoir leur propre site internet. Et de celles-ci seulement:

• 30% y proposent du service après vente,

• 26% acceptent des commandes en ligne,

• 7% reçoivent des paiements en ligne.

Nous sommes d’avis que les investissements dans l’économie numérique accroissent la compétitivité de l’ensemble des autres secteurs de l’économie et que la préparation d’un plan de développement de l’économie numérique est un impératif pour le gouvernement québécois.

Nous avons identifié quatre priorités :

1) Permettre à tous les Québécois d’accéder aux réseaux et aux services numériques et éliminer les barrières liées à la sécurité des transactions en ligne.

2) Accroître l’adoption et diversifier les usages d’Internet dans les entreprises, en particulier les PME.

3) Garantir la formation aux usages des technologies de l’information dès le plus jeune âge.

4) Implanter une gouvernance numérique.

Citoyens

Le gouvernement québécois doit garantir l’accès à tous les Québécois à Internet haut débit partout dans la province. L’Internet haut débit constitue aujourd’hui, comme l’eau, le téléphone ou l’électricité, une commodité essentielle.

Parallèlement, il est critique de renforcer la confiance numérique. Uniquement 47% des adultes québécois considèrent les transactions effectuées par carte de crédit sur Internet très ou assez sécuritaire alors que les problèmes réels de sécurité sont plus rares que dans le cas des transactions hors Internet.

Finalement, des mesures doivent être développées pour assurer la protection de la liberté d’expression des citoyens. Un individu confiant participera activement aux débats politiques et à l’activité économique et contribuera ainsi à la santé de notre société.

PME

Alors que le développement des PME est l’une des clés de notre avenir économique, celles-ci ne disposent souvent pas des ressources ou des connaissances nécessaires pour évaluer les bénéfices qu’elles pourraient retirer des investissements en TIC et non pas, non plus, l’expertise requise pour définir une stratégie cohérente avec leur stratégie d’affaires.

Le faible taux de participation des entreprises québécoises à l’économie numérique et l’exode des dollars d’achat des Québécois sont inquiétants pour l’avenir de notre économie. Il apparaît primordial que l’offre de services numériques doit être renforcée au Québec. Pour atteindre cet objectif, les entreprises doivent trouver un environnement favorable au développement des outils numériques notamment par une sensibilisation accrue des PME et une aide financière à l’investissement.

Éducation

L’introduction d’une formation, dès le plus jeune âge, répond à la nécessité de donner, à chaque enfant, des compétences qui sont devenues aujourd’hui indispensables pour réussir tant au niveau professionnel que social.

À cet égard, il est pertinent de garantir la disponibilité d’un accès à Internet haut débit et WiFi dans chaque école et université, d’améliorer les synergies des universités avec les entreprises en général et les entreprises de haute technologie en particulier et de créer des incubateurs d’entreprises.

Finalement, la numérisation accrue et la disponibilité en ligne des contenus académiques et leur libre accès sont des incontournables.

Gouvernement

L’efficacité des actions « numériques » du gouvernement passera par une mise en œuvre concertée et non par un écartèlement des efforts et des budgets entre différents ministères. Il nous appert critique que ce rôle soit regroupé sous un seul ministre avec une capacité d’agir de façon transversale.

L’administration publique doit moderniser l’accès au travail parlementaire en implantant des outils additionnels d’information, de transaction et d’échange. La transparence doit être à l’ordre du jour et le gouvernement doit ainsi démontrer qu’il a confiance au fait que les citoyens sont d’importants contributeurs à notre système démocratique.

Il est aussi impératif que le gouvernement québécois soit un porte-parole de la neutralité du net et s’assure qu’Internet demeure ouvert et accessible à tous.

Finalement, il est important que le gouvernement provincial supporte et guide les gouvernements municipaux en matière de politiques numériques. En effet, ces derniers sont des acteurs importants du développement de l’économie numérique locale.

En conclusion, sans actions claires du gouvernement, nous croyons que le Québec court le risque de maintenir son retard et d’être laissé pour compte dans l’économie de demain. Nous vous demandons de planifier, au plus tôt, un exercice de réflexions et un plan de mise en œuvre pour stimuler l’économie numérique au Québec afin que nous puissions, non seulement rattraper le retard, mais devenir une nation qui prendra sa place et se distinguera dans la nouvelle économie.

Veuillez agréer, Monsieur Charest, nos salutations les plus distinguées.

Regroupement YulBiz Montréal

Patricia Tessier - Consultante, Stratégie Marketing & Internet

vendredi 19 septembre 2008

Je ne sais pas si je dois rire ou pleurer...

Je reconnais que je suis un peu hors contexte. Mais je revendique aussi le droit à une opinion. Je vous avoue bien candidement que pour la première fois depuis le dernier référendum, je vais aller voter....Entre ce vidéo et présenter un candidat qui n'est pas capable de s'exprimer en français dans la 2ième plus grande ville francophone du monde...il y a de quoi motiver son homme...

mardi 2 septembre 2008

Gérer le stress lorsque nous sommes le grand Boss

Paru sur Chief Executive

Les sources de stress sont multiples. Internes et externes.

Si un minimum de stress est nécessaire (et les CEO ont besoin d'un minimum pour fonctionner) à un certain niveau, la productivité et l'efficence baisse. Puis vient une perte de leadership, une dégradation de la santé générale et l'intelligence émotionnelle diminue.

Pour plusieurs personnes, des exercices de relaxation sont suffisant. Mais quand le stress est vraiment élevé, cela ne suffit plus Il faut donc se batir une hierarchie de méthodes. Avoir les bons outils en fonction du niveau de stress ressenti.

J'ajouterais que le manque de sommeil devient un catalyseur, qui accélère les effets du stress sur le dirigeant.
Quelles sont vos techniques pour avoir un bon sommeil ?

J'ai quelques fois recommandé (après avoir tester moi-même) le disque
sommeil profond qui aide le cerveau à se mettre en mode sommeil (en amenant le cerveau à se synchroniser sur les ondes associées au sommeil, qui se cachent derrière les mélodies vaguement new-age du disque). La mélatonine peu aussi être utile.

Mon arme numéro 1 est le sport. Plus le stress est intense plus l'effort doit être proportionnel. Je me suis d'ailleurs remis au jogging avec un effet fort positif sur ma bonne humeur générale et ma capacité de concentration.

Pour pousser la machine à fond, sous bonne supervision, je vous recommandes de faire affaires avec l'équipe d'Esprit de corps. Pour avoir fait 2 défis avec ces gens-là, je vous jure que ça recadre un systeme déréglé par le stress. Si vous avez besoin de plus extrême que ça de façon régulière, je ne voudrais pas être à votre place :-)




Impressionnant

Un test de choix de carrière, basé sur une sélection de couleur.
Résultats impressionnants, dans mon cas.
www.careerpath.com

Ce qui me plaît dans ce test, c'est qu'il est totalement différent, ne fait pas appel à un prosessus intellectuel logico-mathématique. Un test qui s'adresse au cerveau droit.

Une façon franchement différente de regarder ce qui nous convient.

lundi 18 août 2008

Des contextes de coaching pour la rentrée

Je reçois beaucoup de demandes de coaching depuis le retour des vacances.

Après avoir coaché beaucoup d'entrepreneurs en 2007-2008, le vent semble souffler en provenance de d'autres contextes.

Ce qui m'amène à vous proposer des contextes propices au coaching d'affaires.

  • La création d'une entreprise:
Quand la gang de "chum" se ramasse avec 10-12 enployés,
Quand il faut mettre en place des processus
Quand il faut rencontrer le banquier
Quand on est de moins en moins un entrepreneur et de plus en plus un gestionnaire
Quand la vie privé et la vie entrepreneuriale est hors d'équilibre
Quand le passage d'employé à patron est plus difficile que prévu


  • L'arrivée d'un nouvel investisseur (un ou plusieurs)
Quand toutes les décisions sont scrutées à la loupe
Quand la route menant au capital vous semble parsemée d'embuches
(voir l'excellent article de BenYoskovitz pour en savoir plus)
Quand la pression vous paralyse (argent, croissance, etc)
Quand vous avez l'impression de vous retrouver seul face à la "machine"

  • La passation des pouvoirs lors d'une relève d'entreprise
Quand vous savez ce que vous devez faire mais vous ne déclenchez pas le processus (le cédant)
Quand vous n'arrivez pas à faire valoir votre point de vue ou vous êtes passif (acquéreur)
Quant vous n'arrivez pas à vous détacher suffisamment de la famille

  • Quand la pression devient trop forte pour un cadre supérieur
Quant vous avez besoin d'un interlocuteur qui est neutre face à vos décisions
Quant vous avez besoin d'un partenaire d'entrâinement (présentation, rencontre difficile)
Quant vous avez besoin d'avoir l'heure juste sur vos décisions
Quant vous avez besoin d'un autre point de vue (mais qui veille à vos intérets)

Bien entendu, il existe de nombreux autres contextes. À vous d'en discuter avec un coach !
Vous pouvez aussi en nommer d'autres....

N.B Ce billet est inspiré du magazine Européen "Entreprendre" édition Mai 2008

Pour ceux qui s'intéresse aux nouveaux médias

Je vais à PodCamp Montréal
Y serez-vous ?

mardi 12 août 2008

des outils

Voici 3 petits outils que vous pourriez trouver utile dans votre quête d'équilibre de vie.

Joe's goal
Une page Web. permettant de se monter une petite interface toute simple mais conviviale pour suivre ses objectifs. Je sais que cela peut très bien se faire sur Excel mais la simplicité et la facilité d'utilisation du site peut plaire à plusieurs

Gyminee
Un site Web 2.o très bien fait, assez complet, pour suivre vos progrès au niveau de l'entraînement physique.

Don't break the Chain
Inspiré par la méthode utilisé par le comédien américain Jerry Seinfeld, le principe est archi simple, un objectif à la fois, un gros calendrier. Vous marquer d'un gros trait de couleur la date où vous avez respecté votre (vos) objectif. Après quelques jours vous avez une "chaîne" de couleur qu'il devient difficile de briser. Le site vous passe quelques commentaires lorsque vous "cassez" votre chaîne.

Amusez-vous! Après tout, s'améliorer devrait être plaisant :-)

lundi 11 août 2008

Retour de vacances

Bonjour!

Premièrement, je vous dois des excuses pour être parti sans prévenir.
Après un mois, dont 3 semaines de vacances, je suis gonflé à bloc.
Surveillez bien les blogs (celui-ci et Start-up coach) dans les prochaines semaines
l'ajout d'une adjointe virtuelle à mon équipe devrait me libérer plus de temps pour bloguer

Enfin, merci à tous ceux qui prennent la peine de laisser des commentaires, c'est toujours un plaisir de vous lire. :-)

mardi 1 juillet 2008

quand les enfants nous disent nos 4 vérités

Un vidéo qui date un peu mais le message est encore d'actualité. Le thème est peut-être ici un peu hors contexte bien que très intéressant. Mais dans une perspective de coaching....Quel aurait été votre réaction de parent devant un enfant qui vous dit qu'il veut aller parler à l'ONU ?

Essayez d'imaginer le travail, la conviction qu'il a fallu à ces enfants pour réussir ce tour de force. Et vous, auriez-vous oser relever un tel défi ? Qu,est-ce que vous vous empêchez de faire parce que vous dites que c'est impossible avant même d'essayer ?

vendredi 20 juin 2008

Seesmic

Essai de la plateforme vidéo Seesmic sur Blogspot. Qu'en pensez-vous ?

Misez sur vos Forces!

Les Forces

Plusieurs personnes lorsqu’elles veulent s’améliorer, se concentrent sur leurs faiblesses. Est-ce que la peur de faire une erreur l’emporte sur l’envie d’exceller ?

Plusieurs d’entre nous avons ce réflexe. Nous avons été élevés de cette manière. Reportez vous en enfance un instant. En rentrant à la maison avec un mauvais bulletin, vos parents vous disaient d’étudier plus dans la matière faible ou ils vous demandaient de vous concentrer sur ce « A » en éducation physique ?

Une autre question; combien de « je devrais » vous empoisonne la vie ? Les « je devrais » sont souvent reliés à une vie professionnelle et/ou personnelle qui ne s’est pas bâtie sur des forces. On ne devient jamais « fort » en corrigeant ses faiblesses. Nous obtenons au mieux un résultat moyen ! Imaginez tous les efforts déployés en formation et en coaching pour « couvrir » une faiblesse. Si ces efforts étaient mis sur le déploiement de vos forces, vous auriez des résultats beaucoup plus spectaculaires. De plus, travailler sur et avec nos faiblesses, nous rend nerveux, nous épuise. Passez une journée à n’utiliser que vos talents. Que se passe-t-il ? Vous êtes énergisés, confiants et votre estime de soi augmente!!! Imaginez la vitesse et le nombre de décisions que vous seriez en mesure de prendre si ces décisions ne faisaient appel qu’à vos forces ?

Qu’est-ce qu’une force ?

Selon Buckingham et Clifton, c’est un talent personnel, développé et catalysé par les connaissances et les savoir faire appropriés!

Comment identifier une force ?

Perdez-vous la notion du temps en accomplissant une tâche ?

Est-ce que votre niveau de performance est constant ?

Est-ce que vous avez atteint un niveau d’excellence ?

Vous le faîte constamment avec plaisir.

Vous êtes sur la piste.

Vous en servez vous ?

Avez l’impression d’avoir vécu votre vie ? Quand on a souvent l’impression d’être à coté, c’est que l’on a laissé nos talents faner. Cultivez cette force ! Utilisez-la tous les jours. Bâtissez autour de ces forces, vous serez plus productif, plus satisfait et connaîtrez plus de succès. Plus vous apprendrez à choisir vos responsabilités en fonction de vos forces, plus vous serez comblé!

En coaching, nous voulons maximiser votre potentiel, nous y parvenons en travaillant sur vos forces! Identifiez ce qui semble vos forces, faites une mise au point de ce que vous pouvez accomplir avec celles-ci et accepter ce que vous êtes!


-Article inspiré par les lectures suivantes





mercredi 28 mai 2008

jeudi 22 mai 2008

Êtes-vous là où vous voulez être ?

Hier soir j'assistais à une conférence du comédien Martin Larocque.
Voici la description qu'il en fait sur son site.

Bonsoir, je m'appelle Martin Larocque et j'ai une question à vous poser.

La question que je veux poser aux adultes est la suivante : êtes-vous là où vous voulez être? En faisant un tour d’horizon des différents aspects qui composent notre vie (le couple, la sexualité, les enfants, le travail), je propose un nouveau regard sur les choses. Il s’agit « d’arrêter le temps » pendant quatre-vingt-dix minutes pour se sortir du quotidien et se remettre en question. Mon discours est aussi franc et direct avec les adultes qu’avec les jeunes. Pour adultes avertis!

Je n'ai pas décroché une seule fois. Avec beacoup d'humour, Martin nous amène à réfléchir. Si vous avez une chance par l'entremise de l'École de vos enfants d'assister à sa conférence, ne la ratez pas.

Avec beaucoup d'acuité et sans faire préchi-précha, il nous ramène sur cette criante vérité que les enfants apprennent par l'exemple. Êtes-vous là où vous voulez être ?

Une question puissante en coaching!

Appliquée à soi, sur des éléments aussi fondamentaux que son corps, sa sexualité, son couple, son travail, et sa famille, elle se révèle bourrée d'apprentissage. Lorsque l'on s'arrête sur l'impact de ne pas être où nous voulons être dans le "message" que l'on envoit à nos enfants, l'urgence d'agir n'est que plus criant.

Si cette dynamique vous interpelle, ma question est la suivante...

Dans quelle direction allez-vous faire votre premier pas, pour vous retrouver où vous devez être?

mercredi 14 mai 2008

De nouveaux contextes de coaching

Apres avoir étudier ce qu'on pourrait appeler le coaching web 2.0 (digital caoch) , ce matin j'ai découvert lors d'une conférence de Fred Cavazza au Webcom, le social media coaching.

Je suis toujours étonné, du nombre impressionnant de niches pouvant être exploitées en coaching.
Le défi demeure toujours celui de déterminer la valeur de l'intervention.

Compte tenu de l'impact financier, que vaut le coaching d'un cadre dans l'intégration du Web 2.0 ?

Compte tenu de la nouvelle génération d'employés, que vaut le coaching d'un cadre dans l'utilisation efficace des réseaux sociaux ?

Espéront que les premiers à exploiter ce créneau sauront avoir un impact majeur....La profession est suffisamment diluée comme ça !

jeudi 17 avril 2008

Le temps et les médias sociaux


Chaque fois que je parle du nouveau WEB, le 2.0, la conversation tourne souvent sur le temps requis pour être actifs et efficace.

L'image ci-dessus donne une assez bonne indication de l'implication requise. Vous pouvez avoir l'article précis en cliquant sur l'image.

Essentiellement, il y a 3 catégories:
  1. Si vous avez de 1 à 5 heures par semaine vous êtes un participant.
  2. Si vous avez de 5 à 10 heures, vous êtes un générateur de contenu.
  3. Si vous avez plus que ça, donnez vous le titre de leader de communauté.

Puisque la gestion du temps est une variable qui reviens si souvent dans le coaching, il était difficile pour moi de ne pas vous faire part de cette typologie.

Si vous êtes en affaires, je crois fermement que le temps prioritaire sur le WEB 2.0 devrait être consacré à 1 réseau et à votre blog, en vous assurant de bien relier les deux. 1 à 2 heures, sans interruptions, concentré sur un "apport" à votre réseau ou votre blog, permettra de produire une présence forte et à écrire (ou enregistrer audio/video) 1 à 2 billets solides par semaine.

Faut faire la distinction entre un outil utile et une façon de vivre...

mardi 8 avril 2008

Mathieu Ricard à Montreal cet automne

Mathieu Ricard, le chercheur en génétique cellulaire ayant tout abandonné pour devenir moine Bouddhiste sera à Montreal dans le cadre du colloque international 2008 de L'ICF cet automne.

Pour ceux que ça peut intéresser, vous pouvez écouter une entrevue de M. Ricard avec Christiane Charette

Si vous avez le temps, regardez cette présentation au TED Talks de 2004

mardi 1 avril 2008

Votre indice F

Une autre vision de l'atteinte des objectifs.
On peut mettre en place toutes les techniques nécessaires à la réalisation des objectifs.
Travailler sur les habitudes.
Chercher à changer les attitudes.
Mais avez-vous assez "faim" ?

Dans Lesaffaires.com d'aujourd'hui sous la plume de Jean-Pierre Lauzier

jeudi 28 février 2008

Coaching et vente: Les questions

Bon je m'excuse, le "closing" s'est fait attendre :-)

Bon, ceci ne devrait être lu que par des coachs mais comme je vous aime bien, je vous laisse regarder. Dites-vous que si on se rencontre pour une "exploration" je vais vous les poser...

Si vous cherchez un coach, posez-vous ces questions. Prenez le temps de réfléchir. Soyez honnêtes avec vous-mêmes. Je suis bien sur disponible pour aller plus loin

  1. Que voulez-vous....vraiment ?
  2. L'obtenir va changer quoi dans votre vie ?
  3. Quel sentiment va vous habiter une fois cela obtenu ?
  4. Quels sont les obstacles à franchir ?
  5. Quels impacts ces obstacles ont sur votre qualité de vie ?

Une suite stimulante et pleine d'espoir est reliée à la qualité d'intervention du coach...

Si vous voulez en savoir plus sur la vente et le coaching. Je vous invites à prendre connaissance des formations/solutions disponibles chez TAC-coaching

mardi 5 février 2008

Coaching et la vente: La confiance

Il y a amplement d'évidences, de faits, pour supporter l'efficacité du coaching.
Toutefois, même avec les arguments en main, plusieurs coachs ont de la difficulté à fermer la vente.
Dans une relation comme celle du coaching où vous êtes le produit, la confiance que vous inspirez est primordiale.

Regardons ensemble certains éléments qui peuvent jouer sur la confiance.

  • Votre intégrité: Nous sommes intègres ou pas. Pas de demi-mesure. Comment véhiculer votre intégrité dans le premier meeting avec un client potentiel ? Dire la vérité, ne pas exagérer sur vos capacités ou sur celle du coaching est un bon départ. N'inventez pas de réponse non plus. La réputation qui vous précède ainsi que vos réfrences sont également des éléments nécessaire à démontrer votre intégrité.

  • Votre crédibilité: Pour un coach qui débute, l'intégrité est une chose, la crédibilité est une autre. Encore une fois les références (lorsqu'il y en a) sont une bonne base. Toutefois, votre connaissance du coaching, des outils, des méthodes est la manière la plus concrète de démontrer votre crédibilité. Lors du billet précédent, je mettais de l'emphase sur le fait de ne pas chercher à vendre en expliquant le coaching. Resistez à la tentation de vous lancer dans un grand discours élogieux du coaching, soyez posé, répondez directement à la question sans aller plus loin.

  • Votre capacité à comprendre le contexte du coaché: À titre de coach, une de vos grandes forces est de poser de "bonnes" questions. En reformulant votre compréhension du contexte du client vous démontrez votre capacité d'écoute. Si vous vous mettez à vendre le coaching AVANT de comprendre la contexte du futur client, vous lui donnez l'impression d'une solution toute faite. On est loin du coaching à ce moment, vous ne trouvez pas ?!?

  • Le client est convaincu que le produit (coaching) va fonctionner pour lui. Des cas de coaching, des anecdotes, des témoignages (attention à l'intégrité et au respect déontologique) et des statistiques seront utiles. Connaissez bien vos "chiffres", particulièrement dans un contexte de coaching d'affaires, la capacité à parler en termes de retour sur investissement peut vous faire marquer beaucoup de points. L'ICF possède quelques études à ce sujet. Le coût de votre membership annuel pour avoir accès à ces données va être largement compensé par un seul contrat!!!

  • La confiance qu'il a en sa capacité d'utiliser le service; Dans le cas du coaching, c'est sans doute le nerf de la guerre. La question qui trotte souvent dans la tête du prospect...Cela va t-il marcher pour moi ? Est-ce mon genre ?Comment amener le futur client à croire en ses possibilité ? Bien sur quelques bonnes questions bien posées vont permettre d'indentifier chez la personne les leviers avec lesquels nous pourront travailler.

Quel genre de questions?

Je vous présente ça dans le prochain billet

jeudi 24 janvier 2008

Coachez plus, Vendez moins!

Je suis toujours étonné devant les statistiques de revenus des coachs.
Lorsque l'on considère ce qu'on apporte au client
Le coaching devrait être la chose la plus "facile" à vendre au monde...
Aidez quelqu'un à atteindre un objectif qu'il veut depuis longtemps...
Aider quelqu'un à vivre selon ses attentes...
Wow!
Pourtant...

Les coachs aidant les autres coachs à se vendre, ne sont pas les plus pauvres ;-)

On tergiverse, on justifie, on "ésotérise"
Allez! Arrêtez de tourner autour du pot...

Vous vous souvenez, en formation, être coach, c'est du temps plein
C'est une façon de vivre
Pourquoi arrêter quand vient le temps de vendre....
Offrez de votre temps de coach
Votre prospect ne s'en portera que mieux, l'expérience sera plus concluante pour les parties


Curieux plus nous cherchons à vendre moins nous coachons...
Un client potentiel devant vous ?...ne vendez pas! Coachez!

Pour paraphraser Coaching de Gestion
Si c'est en coachant qu'on devient coach
C'est en coachant qu'on vend le coaching!

C'est pour ça que pendant cette série de billets sur la vente et le coaching, je vais tenter de vous faire prendre conscience que ce qu'on trouve dans le matériel de formation des vendeurs, ce qu'on leur demande, est ce qui défini les mécanismes d'un coach!

Aujourd'hui; Regardons le contexte de la "transaction"

Un Vendeur il fait quoi:

A- Cueillette d'informations sur la situation actuelle
B-Validation de la situation souhaitée
C- Passer à l'action, trouver la solution adaptée

Un Coach il fait quoi:

A- Cueillette d'informations sur la situation actuelle (et un bon coach évalue plus large)
B-Validation de la situation souhaitée (et un coach valide plus en profondeur)
C- Passer à l'action...coachez!

À remarquer, l'approche est la même.
Seul la fin change...un peu.

Ça commence par une écoute "désintéressée"...mais présente.
Vous souvenez vous de la dernière conversation avec quelqu'un qui vous écoutait vraiment, qui posait des questions de clarification de votre situation
Sympathique non ?

Qu'est-ce qui vous empêche de faire pareil dans un contexte de vente ?

À suivre, les caractéristiques personnelles...

lundi 21 janvier 2008

Les coachs et la Vente

Si un bon vendeur a tout ce qu'il fait pour être un bon coach....
L'inverse est t-il vrai ?

Si oui, pourquoi tant de coachs ont de la difficulté à joindre les deux bouts ?

À partir de cette semaine, une série de billets sur La vente et le coaching.

À suivre....

jeudi 17 janvier 2008

Retour aux sources

Voici les compétences essentielles d'un coach, telles que définies par l'International Coaching Federation.

  1. Respecter les directives éthiques et les normes professionnelles
  2. Établir un accord de coaching
  3. Établir avec le client une relation basée sur la confiance et l'intimité
  4. Établir une présence de coach
  5. Écouter avec beaucoup d'attention
  6. Poser des questions fortes ayant du sens
  7. Établir une communication directe
  8. Accroitre le niveau de conscience de son client
  9. Faire définir les actions à entreprendre
  10. Planifier et établir des obcjectifs
  11. Gérer les progrès et les responsabilités
À tous les lecteurs qui ne sont pas coachs, si vous avez besoin de précision n'hésitez à demander.